Modop pour la transformation de conflits

un documentaire de Louis Campana, 2007

un documentaire de Tamara Erde, 2014

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By Kathrin Hörschelmann
Langue: anglais
Institut d'Urbanisme et de de Géographie Alpine, Salle des actes (bâtiment territoires)
Mardi 12 mars 12h30 - 14h30
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Geographers and other scholars in the Social Sciences are increasingly trying to understand how different forms and spaces of violence and (in)security intersect. In particular, scholarship in this field increasingly addresses emotional geographies of in/security at the everyday level of individual subjects, concerning for instance psychological states and embodied experiences (or fears) of violence, senses of safety or feelings of uncertainty. Work on these dimensions of security and insecurity in geography, psychology and the wider social sciences has drawn attention to insecurity as an expression of phenomenological experiences, addressing spaces and scales less frequently considered in scholarship on violence. Thus, feminist researchers have drawn attention to the entanglements between geopolitical and everyday gendered violence.

Lors de la soirée-débat de l'Université populaire de la Villeneuve "Repenser le monde avec Césaire, Fanon et Glissant", qui avait lieu le 22 janvier 2018, Kenjah nous proposait de repenser le monde à travers d'une sélection des textes des penseurs anti-coloniales, tous d'origine caribéenne. Une petite centaine de personne se sont penchés sur des citations de Aimé Césaire, Frantz Fanon et Edouard Glissant, que chacun pouvait commenter selon ses sensibilités. Cette soirée était organisée dans le cadre du cycle "Que reste-t-il du passé colonial ?" (2017-2018) dont l'objectif est de poser la question de la pertinence du passé colonial pour comprendre le présent et d'imaginer notre futur.