Durant les neuf derniers mois, ce qui restait de l’Etat centrafricain s’est effondré avec de graves conséquences humanitaires (400 000 personnes sont déplacées et presque la moitié de la population a besoin d’aide humanitaire). Le gouvernement de transition et la force de sécurité régionale ont été incapables de freiner la chute dans l’anarchie aussi bien en zone rurale qu’en zone urbaine et notamment à Bangui.

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